Éditions Poiêtês
FELS Laurent: Les fissures de l'infini |
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| D’emblée, le lecteur est appelé à faire corps avec les mots, à les investir, l’un après l’autre. L’écriture de dépouillement de Laurent Fels, suite de mots simples et courts, s’annonce dès le titre : Les fissures de l’infini. Magnifique titre qui plonge aux abîmes pascaliens : « Le silence éternel de ces espaces infinis m’effraie » (Pensées). Non vers une fuite intergalactique illusoire comme l’époque en rêve, mais pour une plongée radicale dans la vérité de l’existence humaine. (Paul Badin) | |
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BADIN Paul: Loire sauvage |
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| Une lente descente du fleuve en 1012 vers laisse le temps d’évoquer les temps géologiques et les paysages contrastés dont la Loire est pétrie et qu’elle a contribué à modeler, de conter ses liens étroits avec les humains (navigation, pêche, cultures, architecture…), d’admirer ses incessants changements de lumière, ses courbes, ses couleurs, ses colères d’hiver, ses langueurs estivales, d’appréhender les menaces qui pèsent aujourd’hui sur le dernier fleuve sauvage d’Europe, à préserver à tout prix. | |
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FELS Laurent (éd.): Dans la Chambre secrète du silence (Cahiers Jean Kobs 1) |
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| Pour commémorer le centenaire de la naissance de Jean Kobs, la Fondation Jean Kobs–Marie-Thérèse Boulanger a organisé un premier colloque international consacré à la vie et à l’œuvre du poète lorrain. Le samedi, 26 janvier 2013 – un jour de neige et de grand froid –, chercheurs et amateurs de poésie se sont donné rendez-vous à l’Abbaye Saint-Maurice de Clervaux, dans les Ardennes luxembourgeoises, pour (re)découvrir la poésie kobsienne sous un angle différent. Michel Pirson expose la vie et l’œuvre du poète. Jean-François Sené propose une comparaison de la conception de l’enfer chez Jean Kobs et chez Arthur Rimbaud. Jacques Le Gall s’intéresse aux parcours différents – et pourtant voisins – des deux prêtres-poètes Jean Kobs et Georges Saint-Clair. De son côté, Georges A. Bertrand se lance dans une lecture orientale des poèmes de Jean Kobs en s’intéressant plus particulièrement aux espaces, aux couleurs et aux lumières. Daniel Aranjo se penche sur la notion de « paysage » dans le recueil posthume La Mémoire du Silence. Finalement, Laurent Fels essaie d’étudier la relation du Kobzar à la peinture. Le présent ouvrage réunit les textes des conférences prononcées à Clervaux en 2013. | |
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FELS Laurent et DICKES Dany: Elfenbeintestament |
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| Unter dem Titel Elfenbeintestament öffnet sich der private « eiserne Vorhang » hinter den Fassaden des Alltags, wo eine andere Art des Wahrnehmens ensteht: Signale an die Emotionalität des Lesers, die andere Lesarten und Gedanken freisetzen; schlagwortartig formulierte Assoziationsketten der Bilder; subjektive Sensibilität und Tiefenwirkung; irrationale Rhetorik; emotionale Feinsinnigkeit; Verknüpfung von Wirklichkeiten im dichterischen Bild; existenzielle Betroffenheit und sprachliche Spannungseffekte; Erkenntnis, dass in unserem Bewusstsein die Wirklichkeit nichts Endgültiges ist. (Emile Hemmen) | |
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FELS Laurent et SAE-CHAN Mena: Regards de soie |
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| Tracer dans le loess des vastes étendues asiatiques le trait oblique d'un idéogramme inachevé, c'est plonger au coeur du mystère qui entoure deux cultures lointaines et pourtant en relation étroite. Là où le mot écrit s'efface au profit du silence qui en élargit la portée, une méditation s'amorce entre les contours qui séparent l'absence de son reflet intime. Le présent ouvrage est une édition trilingue (français-anglais-chinois) rehaussée de photographies en couleurs. | |
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FELS Laurent: Jean KOBS - Oeuvres complètes I |
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| La présente édition, établie et présentée par Laurent FELS, regroupe les deux premiers recueils de Jean Kobs : Le Parfum du Silence et Les Roses de la Nuit. Si, dans le premier, l'écriture poétique est parfois hésitante - Kobs est encore en train de chercher sa voie -, le second, qui reprend souvent les mêmes thèmes en les développant, constitue une oeuvre très dense où foisonnent les méditations à la fois philosophiques et religieuses sur l'amitié, l'art, la vie et la mort qui rappellent parfois les écritures apophtegmatiques des ascètes du IIIe siècle après Jésus-Christ. Car s'ils ont quelque chose en commun, Kobs et les pères du désert, en dehors de la pratique du culte, c'est la vie dans la solitude et dans le silence, conditions indispensables pour « habiter poétiquement le monde » (Hölderlin). Jean Kobs a bien compris que la philosophie rencontre assez vite ses propres limites et que c'est à ce moment-là que la poésie est obligée de prendre la relève si la réflexion doit être prolongée. Et c'est encore la poésie, et non la philosophie, qui devient chez lui la vraie «fille de l'étonnement». | |
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WEBER Colette: Un autre monde |
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| Dans les poèmes de Colette Weber frémit la vie. L'haleine scande le rythme des vers dans un univers à la fois familier et saugrenu. Un voyage à travers les méandres du subconscient où toute quête retourne inévitablement à la découverte de soi-même. | |
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Épuisé
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HUTTIN Élisa: L'harmonie du mieux-vivre suivi de La vie est un Haïku |
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| Le haïku est certainement l'une des formes poétiques les plus proches du coeur des choses. Loin du verbiage stérile que les hommes de l'époque contemporaine semblent préconiser, le haïku relève de la concision et de la condensation poussées à leur point de paroxysme. Dépouillement cistercien et poétique du peu, il trouve ses origines en Extrême-Orient. En parfaite harmonie avec le Tao, le haïku vise l'épicentre de l'existence et fait table rase du superflu. Son extrême pureté émane de la confrontation du yin et du yang. Ne gardant que la quintessence de la pensée, il se veut un lien entre la méditation et l'écriture poético-philosophique. | |
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FELS Laurent: Regards sur la poésie du XXe siècle Tome 1 |
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| Si le XXe siècle est l'une des époques les plus paradoxales de notre Histoire - à la fois générateur du progrès technique qui devait accroître la qualité de vie des hommes, et triste berceau de deux guerres mondiales qui n'ont cessé de multiplier ravages et victimes pendant presque trente ans -, il a produit un nombre considérable de poètes qui continuent d'intéresser un large public. Au fil des quelque 580 pages qui constituent le présent volume, les auteurs ont tenté de présenter chacun un poète du siècle dernier en essayant de mettre en évidence les particularités de sa poétique. Ce livre n'est donc pas une anthologie de tombeaux, mais une approche intellectuelle dont le but est d'éclairer une partie de la vie et de l'oeuvre des 32 poètes traités. | |
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GALHOS Eduardo: L'homme assis |
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| L'homme assis est une posture sereine obligatoire parce que naturelle, afin que l'esprit reste debout et éveillé et afin qu'il vagabonde au gré de ses émotions «Sur la terre des hommes» pour «Se sentir traversé... et traverser soi-même…». | |
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CORNEC-ORIESKA Corinne: Le jardin boréal |
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| De la joyeuse floraison de printemps aux douces lueurs boréales, rappelant les allées tranquilles des cimetières, là où j’oserais dire que, pareil au «jardin de soi», l'on se rend, parfois l'on se recueille. On entre en soi comme on se fait confiance ; la confiance offerte aux morts, parce qu'ils se taisent, et savent… Que reste-t-il de vivant en soi lorsque tout est – ou semble – mort ou perdu ? Cette avancée tragique ouvre pourtant un nouveau regard sur la vie, peut-être est-ce le «vrai» regard, un regard personnel qui aurait quelque chose d’universel ? Ce regard qui fait voir sans comprendre que les fleurs s'ouvrent d'elles-mêmes, les arbres grandissent sans nous, les saisons tournent et se répètent. Et ce silence, si souvent évoqué, n'est que la résonnance du temps qui passe et échappe à l'humain, dans son infime instant de vie pourtant quelques fois si intense. | |
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BADIN Paul: Fragments des Busclats suivi de Terre habitée |
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| Au fil des pages, légèrement réorganisées par thèmes, René Char aborde tous les sujets qui ont rythmé sa vie, scandé son œuvre : ses origines, la Provence, ses filiations littéraires, le surréalisme, la résistance, ses amis de combat, ses alliés substantiels en peinture, musique et sculpture, sa rencontre avec Heidegger, ses espoirs et ses craintes, ses coups de cœur et ses gueulantes. Contrairement à d’autres livres qui relatent aussi les rencontres avec le poète de l’Isle-sur-Sorgue – je pense notamment à Jean Pénard, Paul Veyne –, Fragments des Busclats est à ma connaissance le seul ouvrage qui retrace, sans commentaire aucun de la part de son rapporteur, une parole en archipel. | |
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FELS Laurent et TEMPLIER Luc: Ourganos |
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| Affichée en permanence au cours du recueil, la dimension ésotérique n’est pas sans analogie avec L’oeuvre au noir yourcenarienne, mais aussi avec le grand-œuvre et les autres recherches alchimiques, sinon avec toutes les compositions d’ordre spirituel qui ont émaillé l’aventure humaine : rose-croix, bouddhisme, taoïsme, tantrisme, soufisme, kabbale, Zohar, franc-maçonnerie, traditions néoplatoni-ciennes, initiations de tous les types… Que cette initiation soit celle des rose-croix ou qu’elle se réfère à d’autres sociétés secrètes n’a somme toute qu’une importance relative, puisque, au final, le procédé est souvent le même et que seules les méthodes divergent. On retrouve dans cette démarche de passage, une série de référents propres à la recherche de sens : étoiles à portée d’esprit, îles de l’éveil astral et, bien entendu, la longue initiation. Tout se passe comme si, par le biais de la méditation, il s’agissait de reconstruire le monde, ou à tout le moins d’en corriger la marche. Vaste programme! | |
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Épuisé
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BLIN Alexandre: Éclats de silence |
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| Dans son recueil Éclats de silence, Alexandre BLIN nous invite à faire l’expérience d’un silence réduit à sa forme fragmentaire, car le poème tend vers l'effacement et vers la parole tue. | |
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Épuisé
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WEBER Colette: Le meilleur de moi-même |
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| Les poèmes de Colette Weber sont des cris de cœur marqués par le hasard – parfois heureux, parfois pénible – de la vie. Entre joie et tristesse, l’auteur nous livre la quintessence d’un parcours scandé par la disparition d’un être cher. | |
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FELS Laurent: Constantin FROSIN : Francophile roumain |
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| Constantin FROSIN est l’une des personnalités les plus importantes des milieux intellectuels de Roumanie. Professeur à l’Université de Galati, éminent traducteur et poète, critique littéraire, essayiste, directeur de la revue Le Courrier International de la Francophilie et défenseur de la Francophonie, il œuvre pour l’abolition des frontières littéraires et culturelles dans un monde qui pratique encore trop souvent la ségrégation. Ce petit livre – paru sous la direction du philologue luxembourgeois Laurent FELS et réalisé avec la collaboration de deux universitaires français, Daniel ARANJO et Jean-Paul GAVARD-PERRET – a été offert à Constantin FROSIN pour son cinquante-cinquième anniversaire. Il se veut un premier pas vers un monde culturel sans frontières où une main est tendue pour en accueillir une autre au sein d’un univers profondément fraternel. |
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FELS Laurent: Sous l'égide du bleu : essai sur l'oeuvre poétique d'Élisa Huttin |
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| Dans sa monographie, Laurent FELS propose une analyse méthodique et détaillée de l’œuvre poétique d’Élisa Huttin. Étant le premier à retracer méticuleusement le parcours poétique de la Femme de Lettres parisienne et à faire le point sur l’état actuel des recherches huttiniennes, FELS commente les thèmes centraux de l’œuvre avec une finesse rare et essaie de justifier la place qu’occupent les livres de Huttin dans l’histoire de la poésie française des XXe et XXIe siècles. L’ouvrage contient également des reproductions de manuscrits, des poèmes inédits et des fragments de la correspondance inédite d’Élisa Huttin. Dans sa conclusion, FELS donne quelques pistes de recherches aux étudiants en quête d’un sujet de mémoire. | |
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MARTY Marie-Claude: D'ici et d'ailleurs |
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| Dans le présent recueil de nouvelles, Marie-Claude MARTY nous emmène dans un univers imaginaire où le fantastique côtoie le quotidien. À côté d'histoires d'amour qui, bien qu'étranges, sont d'une effrayante réalité, l'auteur nous fait découvrir le monde des parachutistes, car «seuls les paras savent pourquoi les oiseaux chantent»… | |
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Épuisé
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ARANJO Daniel: De l'Éternité et de l'Immortalité selon Sapphô, de Mytilène |
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| Réécrire Sapphô est une idée folle que nous avons tous eue plus ou moins et qui est restée dans nos esprits sous forme de points de suspension. Que faire d'autre face à des fragments intenses d’une œuvre éclatée et disparue ? Au silence de la poétesse, c’est notre propre silence le respect dû, cependant exalté par la volonté d’écoute rendue à sa fonction originelle qui est de détecter le moindre bruit, le plus petit signe venu du bruissement de la parole ou, mieux encore, du murmure, du soupir presque indiscernable, du chant muet des lèvres qui se touchent. Daniel Aranjo a voulu briser le pacte. Le silence est d'or ? Peut-être, se dit-il, y a-t-il aussi de l'or dans le rêve qui reconstitue ce qui fut. Se saisir de l'ombre, traquer l'évasif pour lui donner un fantôme de corps, toucher à son tour la peau des lèvres et le ruissellement des épidermes, les brûlantes rosées de l'amour. (Salah Stétié) | |
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DRAGHINCESCU Rodica: Ne dis jamais Miroir comme miroir / Sag nie Spiegel wie spiegel |
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| Il ne s'agit pas de quelques amusantes gouttes de gouttelettes à rouler larmes sur la joue, non non, mais de ces pluies sérieuses, drues, carnassières, devant lesquelles toute bergère est aussitôt tentée de rentrer ses moutons, de garer ses miches, d'effacer son cri de cygne! (Claude Vercey) | |
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SNOGARD: Nous n'avons fait que fuir |
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| Chaque jour, nous vivons le malaise d'une société prise dans le rouet d'une mondialisation dont le troisième millénaire est l'otage. En nous proposant de le suivre dans sa fuite d'une société en mal être, injuste et intolérante, Snogard plante le décor au nez et à la barbe des sociétés industrialisées et décrit combien la révolte de l'homme l'entraîne dans sa propre perte plutôt que dans une quête d'authenticité et d’absolu. | |
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Épuisé
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FAUTRÉ Hervé: Absences |
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| L'absence est-elle un manque, une omission, une carence, une séparation, voire une privation…? En tout état de cause, elle commence à la naissance quand le fœtus s'absente du ventre de sa mère, cordon coupé, pour devenir bébé ; elle se poursuit tout au long de la vie et même au-delà… Chaque individu est confronté quotidiennement à l'une ou l'autre de ses multiples facettes, de ses multiples formes : cela va du coup de fil auquel personne ne répond jusqu'au décès d’un être cher, jusqu'à sa propre mort, quand on s'absente définitivement de tous et de tout. Et que dire du temps qui passe ? Le passé est absence et le futur aussi. Ainsi, l'absence se veut plurielle, d'où le titre de ce recueil. | |
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Épuisé
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LAURENTINE Renée: Carrefour des solitudes / Crossroads of solitudes |
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| Solitudes qui parfois s'éclairent, parfois s'enlisent dans le sombre… Solitudes qui hésitent… Celles des êtres vivants, comme celles des paysages ou des villes… Douces ou cruelles. Secrètes ou clamant leur exil. Hésitantes ou profondes… Et tout au fond du cœur, l'angoisse de se sentir unique… | |
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PASTY Alain: Shunyata |
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| L’inspiration est à la fois contemporaine et éternelle. Contemporaine, car rien de ce qui constitue notre monde ne lui est étranger, qu’il s’agisse de sa violence, de tous les obstacles qui mettent un frein à la libre expression ou au bonheur de l’homme ; éternelle aussi, car la femme, l’amour, la déchirure ou la joie font partie des thèmes qu’il affectionne. La recherche constante de l’essence même de la source d’inspiration pousse le Créateur à manipuler, entrelacer les couches successives de lignes et de traits : il se dévoile peu à peu vers sa finalité, irrémédiablement poussé par la Création. Et, fuyant le temps, le Créateur d’Imaginaire imprègne l’espace de sa plume… | |
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LAVAL Janine: Palindromes |
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| Palindromes, pourquoi Palindromes ? À l’instar d’un palindrome qu’on peut lire indifféremment dans un sens ou dans l’autre, un recueil de poèmes ne nécessite pas forcément de chronologie. Il n’est pas incongru, comme c’est le cas pour un roman, d’aller voir la dernière page avant la première !… Ce recueil est rehaussé de très belles illustrations en couleurs réalisées elles aussi par Janine Laval. | |
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Épuisé
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DUKARSKI Alain: Bulles d' Âme |
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| Dans Bulles d’Âme, l'auteur se livre à une quête du MOI profond. Le poète réussit-il à saisir la quintessence des choses et à dépasser les apparences trompeuses? Telle est la question qui se trouve au cœur de ce recueil d'Alain DUKARSKI. | |
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BLIN Alexandre: Arpèges |
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| Arpèges d’Alexandre BLIN est un recueil de poèmes en deux actes qui pose des questions de nature ontologique. Comme des arpèges, les accords de notre vie varient entre le mode majeur et le mode mineur… | |
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Épuisé
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HUTTIN Olivier: Mille mots pour te dire suivi de Jardins suspendus |
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| Mille mots pour te dire est né à la veille de ses quarante ans. Mille mots pour te dire, car quand on aime une personne, on a toujours quelque chose à lui dire ou à lui écrire. Le poète, à la manière d'un chaman, invoque l'amour à travers l'esprit de la femme qu'il aime. Ces textes sont les traces que laisse sa plume quand il revient de ses voyages dans le monde des rêves. | |
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ANDRÉ-GUIDICI Evelyne: Canis Sapiens |
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| Dans Canis Sapiens, Évelyne André-Guidici nous propose une réflexion approfondie sur la condition des hommes. Sans cesse, les êtres humains cherchent à outrepasser les limites qui s'imposent entre la réalité et l'immortalité. Le titre peut surprendre: Canis sapiens se substitue à Homo sapiens, notion qui nous est plus familière. Toutefois, Canis Sapiens annonce dès le début l’échec de la quête de l'absolu... | |
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LIBERT Béatrice et DURAND-LE MENN Christophe: Edward Hopper |
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| Notre nouvelle collection Pictural offre à deux poètes de s'allier dans la lecture d'un même peintre. Deux poètes concourent à lire une même oeuvre picturale, à la translittérer dans une approche qui ne distingue pas lire et écrire. Les Grecs nous ont laissé ce beau mot d’ekphrasis pour désigner la traduction d’une oeuvre picturale en texte. C'est par leur description que certains tableaux nous sont parvenus ; images mentales plutôt que picturales. Image, dis-je. Oui, car ce passage d'un code sémiotique vers un autre pourrait sembler hasardeux s'il n'y avait, commun et à la peinture et à la poésie, le coefficient image. Image : cela par quoi le beau est ; sans quoi le beau serait impensable. Toute l'affaire de la poésie tient, me semble-t-il, à cette ambition de penser l'image. Or comment penser l'image sinon par les rapprochements qui font intervenir le démon de l'analogie, de la métaphore. Je cherche à dire que l'image ne peut être pensée que par l'image. Cela constitue en soi une source de plaisir. Le bonheur n'est pas ailleurs que dans la rencontre. Pictural naît donc du désir d'établir un réseau d'échos et de convergences entre les poètes et la peinture dans une perspective tout à la fois intertextuelle et intersémiotique. Notre idéal est de créer une pinacothèque et un florilège propres à cette collection. Des voix connues et d'autres tout aussi prometteuses viendront donner à lire leur lecture d’œuvres capitales. Votre lecture sera donc lecture de lectures. Jalel El Gharbi Professeur à l'Université de Tunis Directeur de la collection « Pictural » |
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Épuisé
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HUTTIN Élisa: Le fil bleu |
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| Le fil de la vie. Le fil de l'eau des rivières. Le fil de l'horizon unissant à l'infini le ciel et la mer. Les mots suivent le fil bleu et forment un collier de perles aux sonorités cristallines. Amour, tendresse, silence. Un contraste, une faille laissant entrevoir des éclats de lumière bleue au travers de la grisaille de notre monde. Écoutez et laissez-vous bercer par le léger mouvement de l'herbe bleue sous le vent... | |
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DELMAS Romain: Où Décembre ne sera pas mon mois d'hiver... |
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| Où Décembre ne sera pas mon mois d'hiver… est bien plus qu'un simple recueil de poèmes. Au fil des 158 pages qui composent son livre, Romain DELMAS nous emmène dans les profondeurs de l'abîme qu’est pour lui la vie. Parfois, un petit rayon de soleil réussit à transpercer la couche épaisse de ce taedium vitae mélangé à une profonde mélancolie. | |
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Épuisé
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PISANI Béatrice: Envols de l'âme |
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| Envols de l'âme est un recueil dans lequel Béatrice PISANI, poétesse luxembourgeoise, nous raconte sa vie en fragments poétiques. Les plus belles ainsi que les plus tristes sensations sont sublimées en oeuvre littéraire. Un vrai coup de cœur! | |
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OSTERTAG Michel: Jalons |
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| Jalons est une réflexion sur la mémoire en une recherche poétique d'instants enfouis au creux des années. En une série de textes denses où chaque mot est ciselé avec minutie, Michel Ostertag, au fil des pages, nous conduit à la quête de sa propre identité, sa propre vérité pour aboutir à une sorte d'apaisement au moment du dernier jalon. | |
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EMORINE Denis: Au chevet des mots |
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| Jamais, peut-être, Denis Emorine n’est allé aussi loin dans la révélation de l’être, c’est-à-dire de la déchirure de son être. Ces vingt textes oscillent entre le thème de l’amour impossible vaincu par la mort et la fragmentation de l’identité. L’inspiration d’Emorine s’en nourrit avec, en filigrane, le combat de l’homme contre le temps. | |
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Épuisé
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LIUZZO Pietra: Mélancolie |
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| Ce petit recueil constitue un véritable cri de détresse. L'auteur a sublimé ses plus belles déclarations d'amour en une œuvre d’art de qualité. Toutefois, comme chez Pétrarque, les sentiments demeurent unilatéraux, ce qui accroît la souffrance de la poétesse. | |
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Épuisé
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CATTY Valérie: Bouquet de cendres |
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| C'est un univers d'amour effondré, une passion étouffée dans son germe, un catleya flétri – un vrai « bouquet de cendres » – que nous dépeint Valérie Catty dans son œuvre éponyme. Les quinze textes témoignent d'un style recherché aussi captivant que mélancolique. | |
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DURAND-LE MENN Christophe: La direction du vent |
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| Dans les quinze poèmes qui composent ce petit recueil, Christophe Durand-Le Menn nous décrit une belle côte et nous invite à faire un voyage dans « la direction du vent ». | |
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Épuisé
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BROCHARD Daniel: Pour ma mort |
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| Tout être humain redoute cet événement aussi inconnu qu'effrayant qu’on appelle trépas. Dans son recueil Pour ma mort, Daniel Brochard essaie de cristalliser sa conception de cette ultime lutte dans des poèmes en prose qui dégagent une certaine force tant au niveau du style que du contenu. | |
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Épuisé
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SCHNELL Agnès: Jour de liesse, jour de colère |
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| Alors que chacun s'amuse, se réjouit, un homme est sous l'emprise d’une colère irraisonnée. Il fallait un moment, ce sera le Carnaval. Il fallait un lieu géographique, il serait vain d'essayer de le reconnaître. Ce sera une ville imaginaire, la somme de toutes les villes de France, de Belgique, d'Allemagne et d’ailleurs où le temps du Carnaval, du masque et du déguisement permet l'anonymat et parfois la transgression des tabous nécessaires à toute société organisée. Il fallait une action, elle sera excessive, inhumaine, violente, inadmissible, folle… Cette nouvelle couronnée par le prix Jean Lebon 2005 est suivie d'un ensemble de douze nouvelles brèves. Un regard sur le quotidien de ces êtres que nous côtoyons sans les connaître, sans nous douter des secrets qu'ils portent. Histoires parfois amères, comme le café noir sans sucre… |
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LAURENTINE Renée: Lieux entredits, espaces peut-être rêvés |
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| Des lieux rappelant des loca amœna où les hommes sont ensemble tout en restant seuls, tel est l'univers que nous propose Renée Laurentine dans son recueil bilingue intitulé Lieux entredits, espaces peut-être rêvés – Somewhere yet unnamed, perhaps lingering dreams. L'ensemble de l'oeuvre – avec un poème d’Andrée Chedid en exergue – repose sur un certain nombre d’antithèses qui, dans une atmosphère printanière et mythologique, s'opposent moins qu'on ne le pense... | |
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Épuisé
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SCHNELL Agnès: De terre et de bleu |
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| Voici le deuxième chef-d'œuvre dans lequel Agnès Schnell nous invite à découvrir les secrets les plus profonds de la vie et de l’amour. Un succès incontournable! | |
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Épuisé
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EL GHARBI Jalel: Jules Supervielle : reflets et miroirs d'un poète |
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| Il y a une syntaxe du dédoublement ; il y a une grammaire du reflet qui fait que l'image spéculaire se donne à lire autrement que l'objet qu'elle reproduit. Tout se passe comme si le portrait était condamné à ne pas ressembler au modèle. Il y a une inquiétante étrangeté qui émane du miroir. C'est pourquoi la poétique du miroir est avant tout miroir d'une poétique. Qu'est-ce qui se mire ? Rien d'autre que le poème. | |
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AMARA Maribel: Poèmes naturels |
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| «La nature est un temple» écrivait déjà Baudelaire au XIXe siècle. Et c'est sur sa trace que s'engage Maribel Amara lorsqu'elle dépeint une nature en sanctuaire, fréquentée par les elfes, les djinns, les sylphes et tous les autres esprits qu'elle héberge. La deuxième partie du recueil est réservée à des poèmes de l'Histoire dans lesquels l'auteur nous rappelle quelques tristes événements du qui nous ont tous marqués. | |
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BARBARITO Carlos: Les minutes qui passent |
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| Cette sélection de poèmes est une excellente introduction à l'œuvre du poète Argentin Carlos Barbarito. Dans chacun de ces poèmes souvent courts, concentrés, le poète nous transmet son expérience d'exister dans ce monde : une pénétrante sensation de l'éphémère... (Stefan Beyst) | |
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BIZIEN Gilles: Rouge Totem |
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| Voici un remarquable livret qui est dû à la fois à la plume et au pinceau de Gilles Bizien. Comme le titre le signale déjà, l'ensemble des poèmes est placé sous l'égide de la couleur rouge. Chaque texte est rehaussé d'un admirable dessin en couleurs. Une vraie œuvre d'art! | |
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LE BOSCO Jennifer: Des Cris et des Mots |
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| Un admirable recueil de poèmes dans lequel la jeune poétesse Jennifer Le Bosco nous chante son amour pour une personne qui l'a quittée. En même temps, la jeune auteure ne cesse de préconiser la liberté, l'égalité et la fraternité mondiales. | |
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Épuisé
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MARTINS Eunice: Émotions |
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| Les dix-huit poèmes que contient ce recueil d’Eunice Martins nous confrontent aux différents problèmes de la vie : la vieillesse, la pauvreté, la maladie, la drogue et l'alcool. Chaque texte est rehaussé d’un petit dessin en noir et blanc qui donne plus de force aux paroles de la poétesse. | |
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Épuisé
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SCHNELL Agnès: Poème à crier! |
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| Agnès Schnell nous propose un remarquable poème mélancolique sous forme de monologue intérieur qu'elle a dédié « À toutes les femmes ». Main protectrice, voix consolatrice ; la femme offre tout à celui qu'elle aime. Mais que lui rend-il ? Un grand vide... | |
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Épuisé
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BRAY Philippe: Les jours où les roses sont à moitié roses |
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| Le présent ouvrage se compose de quatorze poèmes en vers et en prose. Philippe Bray s'y interroge sur différents thèmes dont l'art du roman ou encore l'utilité de la poésie dans notre ère. Les références intertextuelles (Marcel Proust, André Chénier, William Shakespeare) sont manifestes et soulignent l'originalité du recueil. | |
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Épuisé
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BLIN Alexandre: L'adieu au sombre |
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| Ce deuxième recueil qu'Alexandre Blin vient de publier aux Éditions Poiêtês s'appuie sur le jeu des couleurs et des synesthésies. Au fil d’une cinquantaine de pages, le poète exorcise le sombre à l'aide de vers à la fois élégants et très forts. Une œuvre incontournable et un vrai remède contre les dépressions engendrées par les grisailles de l'hiver! | |
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Épuisé
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OUAKNINE Joseph: Péchés mignons III |
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| Les quinze nouvelles que Joseph Ouaknine – polygraphe de plus en plus connu en France – nous fait découvrir dans le présent recueil nous emmènent dans un univers fantastique qui rejoint par moments celui de la science-fiction. Un véritable coup de cœur qui ne vise pas seulement un jeune public... | |
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GUERRA Rodolphe: Chansons hirsutes |
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| Pour faire oublier les soucis de la vie quotidienne, Rodolphe Guerra nous propose dans ce recueil neuf petites histoires très amusantes sous forme de chansons. Un ouvrage indispensable à tous ceux qui n’ont plus ri pendant des jours! | |
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DUTAILLY Roger: Élégie d'Èze-Bord-de-Mer |
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| Dans un dialogue incessant avec Johann Wolfgang von Goethe, le poète Roger Dutailly nous chante son élégie avec des vers dont l'éloquence rejoint celle de Corneille. Un chef-d’œuvre à savourer! | |
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Épuisé
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HUTTIN Élisa: Bleu intense |
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| Dans la présente publication - qui constitue le premier 'vrai' livre publié par les Éditions Poiêtês -, Élisa Huttin nous raconte sa quête du bleu dans un langage aussi attrayant que magique. Le lecteur a l'impression d'entendre les eaux lui murmurer d'étranges histoires, les étoiles lui révéler les secrets de notre existence et l'Amour qui frappe à la porte. Il suffit de se laisser prendre par la main et d'entrer dans ce monde merveilleux qui est celui du bleu. À lire et à savourer! | |
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BLAS Emmanuel: Quelques rares qualités |
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| Les quinze poèmes qu' Emmanuel Blas nous propose dans son recueil évoquent plusieurs thèmes dont l'amour, la souffrance et la captivité. Les textes qui sont de véritables coups de maître s'appuient sur le jeu des couleurs et des images et nous incitent à la réflexion. | |
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Épuisé
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CORNEC-ORIESKA Corinne: Sans titre de solitude |
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| Sans titre de solitude est un merveilleux livre qui réunit en lui deux recueils de poèmes, Les Soleils s'endorment seuls et Vide bleu. En évoquant des thèmes tels que la maladie, la mort, la souffrance, l'amour ou l’espoir, la poétesse entretient un éternel dialogue avec les grands maîtres de la poésie : Baudelaire, Rimbaud et le poète allemand Paul Celan. À découvrir! | |
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BLIN Alexandre: À corps perdu |
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| Alexandre Blin nous chante dans un langage très sentimental et un style qui rejoint celui du blason son amour pour une personne dont l'absence le fait souffrir énormément. Un vrai succès! | |
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FELS Laurent: Saint-John Perse |
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| Saint-John Perse est l'une des figures marquantes de la poésie du XXe siècle. Le présent ouvrage essaie de retracer la vie de ce poète et diplomate en mettant l'accent sur les côtés politique et littéraire qui constituent les piliers de sa carrière. | |
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Épuisé
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FELS Laurent: Îles enchantées |
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| C'est par un vocabulaire et un style recherchés – qui rejoignent la poésie de Saint-John Perse –, que Laurent Fels emmène le lecteur dans un univers constitué d'une flore et d’une faune exotiques et essaie de lui montrer le secret des îles enchantées. | |
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Épuisé
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